Fin du mois de septembre, la professeure au Département de management Kerstin Kuyken, a lancé le Centre d’Études en Entrepreneuriat International et Interculturel (CEEII).
Le CEEII a pour objectif de comparer les pratiques managériales des PME de différents pays ainsi que de développer le champ de recherche de l’entrepreneuriat interculturel. Le Centre permettra notamment une meilleure intégration d’entrepreneurs migrants, ce qui permettra ultimement d’enrichir l’économie québécoise.
La programmation scientifique se fera autour de cinq problématiques de recherche :
1. La comparaison internationale et interculturelle des pratiques de gestion et de transmission des connaissances et de l’innovation
2. Connaissances, ressources et créativité des entrepreneurs migrants (comme entrepreneurs bi- ou pluriculturel)
3. Sensibilité (inter)culturelle en accompagnement des entrepreneurs migrants
4. Création d’un cadre conceptuel en entrepreneuriat interculturel
5. Pratiques méthodologiques interculturelles novatrices.
En partenariat avec la CEEII, l’université de Passau et d’autres partenariats internationaux, l’ESG UQAM, par une offre de formation scientifique de haut niveau, pourra apporter son expertise et rayonner dans le monde des affaires. Les retombées sociétales auront notamment un impact sur : les entrepreneurs locaux, car les recherches du CEEII aboutiront sur leur sensibilisation aux aspects liés à la culture, ainsi qu’à la conception d’une offre d’accompagnement tenant en compte les particularités culturelles ; les acteurs d’accompagnement, car les recherches nourriront leur réflexion sur accueil des entrepreneurs d’origine culturelle diverse, menant à l’adaptation de leur offre et enfin celui des organismes publics (municipaux, provinciaux et fédéraux).
Dans un contexte de mondialisation, marqué par l’immigration massive d’employés qualifié, l’internationalisation des PME – 99% des entreprises québécoises sont des PME et près de 2000 startups contribuent à l’activité d’innovation au Québec, 40% de la valeur totale des exportations Canadiennes sont issues des PME -, il est essentiel que tous les acteurs se comprennent culturellement pour un meilleur fonctionnement. Les aspects interculturels sont donc essentiels à l’intégration respectueuse à long terme des entrepreneurs étrangers.
Les recherches de la CEEII veulent ancrer dans l’ADN des PME québécoises ce souci d’intégration interculturelle. Cela permettra le développement de celles-ci à l’international, dans un cadre d’accueil respectueux des populations concernées. La CEEII a par exemple favorisé la création de liens entre jeunes entrepreneurs québécois et allemands dans le but de partager des pratiques, et de s’enrichir mutuellement.
La CEEII s’est donc récemment présenté en tant qu’unité de vocation de transfert au sein de l’ESG UQAM tout en intégrant les activités de recherche de Kerstin Kuyken ainsi que ses collaborateurs au Québec et à l’international. Ce partenariat positionnera notre université comme leader en entrepreneuriat international et interculturel.
Le CEEII a pour objectif de comparer les pratiques managériales des PME de différents pays ainsi que de développer le champ de recherche de l’entrepreneuriat interculturel. Le Centre permettra notamment une meilleure intégration d’entrepreneurs migrants, ce qui permettra ultimement d’enrichir l’économie québécoise.
La programmation scientifique se fera autour de cinq problématiques de recherche :
1. La comparaison internationale et interculturelle des pratiques de gestion et de transmission des connaissances et de l’innovation
2. Connaissances, ressources et créativité des entrepreneurs migrants (comme entrepreneurs bi- ou pluriculturel)
3. Sensibilité (inter)culturelle en accompagnement des entrepreneurs migrants
4. Création d’un cadre conceptuel en entrepreneuriat interculturel
5. Pratiques méthodologiques interculturelles novatrices.
En partenariat avec la CEEII, l’université de Passau et d’autres partenariats internationaux, l’ESG UQAM, par une offre de formation scientifique de haut niveau, pourra apporter son expertise et rayonner dans le monde des affaires. Les retombées sociétales auront notamment un impact sur : les entrepreneurs locaux, car les recherches du CEEII aboutiront sur leur sensibilisation aux aspects liés à la culture, ainsi qu’à la conception d’une offre d’accompagnement tenant en compte les particularités culturelles ; les acteurs d’accompagnement, car les recherches nourriront leur réflexion sur accueil des entrepreneurs d’origine culturelle diverse, menant à l’adaptation de leur offre et enfin celui des organismes publics (municipaux, provinciaux et fédéraux).
Dans un contexte de mondialisation, marqué par l’immigration massive d’employés qualifié, l’internationalisation des PME – 99% des entreprises québécoises sont des PME et près de 2000 startups contribuent à l’activité d’innovation au Québec, 40% de la valeur totale des exportations Canadiennes sont issues des PME -, il est essentiel que tous les acteurs se comprennent culturellement pour un meilleur fonctionnement. Les aspects interculturels sont donc essentiels à l’intégration respectueuse à long terme des entrepreneurs étrangers.
Les recherches de la CEEII veulent ancrer dans l’ADN des PME québécoises ce souci d’intégration interculturelle. Cela permettra le développement de celles-ci à l’international, dans un cadre d’accueil respectueux des populations concernées. La CEEII a par exemple favorisé la création de liens entre jeunes entrepreneurs québécois et allemands dans le but de partager des pratiques, et de s’enrichir mutuellement.
La CEEII s’est donc récemment présenté en tant qu’unité de vocation de transfert au sein de l’ESG UQAM tout en intégrant les activités de recherche de Kerstin Kuyken ainsi que ses collaborateurs au Québec et à l’international. Ce partenariat positionnera notre université comme leader en entrepreneuriat international et interculturel.